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Caractéristiques:
Les jeunes possèdent une couleur spectaculaire avec la tête orange et des bandes jaunes sur un corps noir. Néanmoins chez les spécimens juvéniles et adultes, cette splendeur devient vite d’un brun foncé avec bande d’un brun pâle sur le corps. Souvent la queue par contre va perdre ces bandes de couleurs. Derrière les yeux jusqu’à la base du cou nous remarquons une bande noires étiré. Les lèvres ont des bandes verticales. Adulte ils atteignent une grandeur de 1.5m (5’) selon l’individu. Les écailles dorsales du varan Duméril de Bornéo sont plus petites que les écailles du cou. Les varans Duméril adultes sont souvent confondus avec les varans rough-neck (rudicollis), en français connu sous le nom de varan bec de corbeau.

Comme juvénile, le varan bec de corbeau (rough-neck) n’a pas la tête orange et les barres jaunes, il y a, à la place une ligne fine grise pâle entrelacer sur un fond brun pâle.

Le varan rough-neck (bec de corbeau) a aussi une tête et un museau mince. Le museau du varan Duméril est plus large comme la plupart des varans. Les grandes écailles proéminentes du cou du rudicollis (bec de corbeau) le distinguent aussi. Le varan rough-neck (bec de corbeau) est un arboricole constant. Les varans Duméril sont plutôt semi-arboricoles. Comme la plupart des varans, la vaste majorité des dumerilii retrouvé sur le marché ont été capturé en nature.

Vivarium:
Malgré qu’il est toujours conseillé de gardé un spécimen par emplacement. Un bébé au maximum deux, peuvent habiter dans un 30 gallon. Le varan va grandir, il sera important de grossir le terrarium. Alors 1 à 2 adultes devraient avoir pas moins de 150/220 gallons. Personnellement Reptiles en Captivité garderait un adulte dans minimum 220 gallons. Mieux encore si vous êtes bricoleur pour construire un beau vivarium de 36 pouces de large par 30 pouces de profond avec une hauteur de 72 pouces étant donné que ce varan aime grimper.

Type de vivarium:
Étant semi-arboricole et semi-aquatique ce varan vie dans un environnement humide sur les berges des rivières aux abords des forêts tropicale. Son vivarium devra avoir plus de hauteur ainsi qu’un grand bassin d’eau.

Comportement:
Étant pas de nature agressive le varan de Duméril est facilement effrayé (donc plus nerveux), il est recommandé d’avoir un spécimen par emplacement. Par contre s’ils sont bien acclimatés, si l’environnement est très grand, s’il s’agit d’un couple (pour éviter le comportement territorial par les mâles), il est possible avec de la surveillance accru de placer un couple dans le même terrarium.

Régime alimentaire:
Insectes, escargots, crustacés, mollusques, oisillons et petits rongeurs, important de mettre l’emphase sur la variété d’insectes, poissons et quelques charognes font aussi parti de la diète surtout pour le jeune varan. Il peut arriver qu’une fois acclimaté certain spécimen vont accepter de la nourriture en conserve de qualité pour chien (ex : Nutrience original). Il est bien spécifié de la nourriture pour chien et non pour chat car cette dernière est trop riche en phosphore, ce qui peut être nuisible en trop grande quantité pour les reptiles.

Habitat:
En nature, le varan Duméril semble plus nombreux en littoral, estuaires et habitats riverains. L’adulte est plus susceptible de se sauver dans l’eau que de sauter d’arbre en arbre. En terrarium il devrait avoir un grand bassin dans lequel il peut s’immerger complètement. Comme beaucoup de varan, le Duméril préfère déféquer dans l’eau. Donc, il faut prévoir un nettoyage régulièrement. Il est bon de s’assurer que le récipient d’eau est facilement accessible pour l’entretien fréquent que cela va exiger.

Initialement nerveux, prévoir une ou plusieurs cachettes. Le varan de Duméril deviendra rapidement calme, malgré que certains spécimens aillent mordre amicalement d’autres varans s’ils sont confinés dans un endroit restreint. Ils peuvent aussi siffler et fouetter avec leur queue.

Problèmes potentiels:
Selon mes recherches; Il est très rare que la reproduction en captivité a été inventoriée. La seule reproduction enregistrée en captivité pour cette espèce a été effectuée au zoo de Buffalo en 1987, il s'agissait de la seule reproduction réussit en milieu captif. Alors les spécimens retrouvé sur le marché sont issu de l’importation et arrivent souvent déshydratés, affamés sans oublié l’infestation de parasites. Étant importés, donc plus stressé il n’est pas toujours facile de les acclimater et de les nourrir. Il peut s’avérer nécessaire de les intuber et demander l’assistance d’un vétérinaire pour avoir médication et traitement contre les parasites. De façon générale ils boivent bien.

Situation de l'espèce; Classée en Annexe II de la C.I.T.E.S..

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